Trail: Comment allier course, atlitude et dénivelé ?
Le Pérou, le Chili, la Bolivie... Comment bien profiter de son séjour
Des personnes interrogées au retour de l’ascension du Mont Blanc ont souffert du MAM 79%
Des candidats parviennent jusqu’au pic du Kilimandjro, l’Uhuru 55%
Des ascensions réussies à l’Everest ont lieu par le col Sud et l’arête Sud-Est contre 39 % par le col Nord et l’arête Nord-Est 59%
« Juste pour vous dire que mon tour des Annapurnas s’est bien passé, le col passé facilement (en courant… un peu). Un très beau voyage fait dans des conditions idéales de forme physique et de bien être.
A bientôt peut-être pour de nouvelles aventures »
Isabelle
« Grand bonheur pour moi, j’ai réussi l’ascension du Mont Blanc vendredi dernier !
Parti avec le beau temps, nous sommes redescendus par grand froid et rafales de vent de 80 à 100 km/h…Obligation de nous abriter durant 3 h dans la cabane Vallot.
Les jambes et le souffle ont tenu le coup !
Pour les jambes, l’entraînement de marche et de course à pied a été très utile.
Pour le souffle, mes séances à SimAlti m’ont permis de monter régulièrement, lentement et sûrement jusqu’au sommet.
Je vous remercie beaucoup de votre attention bienveillante durant mes séances de préparation à l’altitude. »
Philippe
« Passer de 0 à 4500 m d’altitude en 24h sans en ressentir les effets…
A l’occasion d’un projet d’ascension du Mont Rose j’ai essayé la méthode d’acclimatation proposée par Simalti.
Il s’agit de simuler les effets de l’altitude en plaçant le sujet en situation d’oxygène raréfié ou hypoxie pour faire savant. Il ne s’agit pas de fabriquer des globules rouges.
En dix séances d’une heure allongé dans un fauteuil à respirer l’air tel qu’à 5 000 m l’organisme apprend à optimiser sa consommation d’oxygène. Au commencement on subit l’hypoxie. Pour compenser le manque d’oxygène le coeur augmente son rythme. Au fur et à mesure des séances il se stabilise et trouve une vitesse de croisière proche de votre fréquence cardiaque au repos malgré un taux de saturation en oxygène très faible. C’est le signal, l’acclimatation s’accomplit. Il reste à vérifier les effets en situation réelle. Je pars de Paris un vendredi à 15h pour Zermatt. Je monte au petit Cervin le samedi et grimpe au sommet du Breithorn (4164 m) dans la foulée. J’ai déjà fait ce parcours une dizaine de fois avec toujours les mêmes symptômes : souffle court, tachycardie, maux de tête. Rien de tout cela cette fois ci ! Je ne grimpe pas plus vite mais quel confort. Je passe quelques jours en altitude sans effet secondaire. le gain est évident pour moi qui n’ai pas d’aptitude particulière à la haute montagne.
Je suis curieux d’en mesurer les effets après un séjour prolongé en altitude.
Aujourd’hui je continue au rythme d’une séance toutes les trois semaines pour conserver l’acquis.
Le cerise sur le gâteau les séances sont très relaxantes… »
Pierre Neveu